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Les snurfers au soleil
21 janvier 2014

Sur les routes du sud...

    Après une bonne nuit et un bon gueuleton chez notre petit Aziz.Nous embarquons avec Yassin pour les longue routes du sud, le Sahara. C'est à coté de Mirleft que nous faisons notre première halte.Une simple pause avant la beautés de LegziraLegzira est un lieu magnifique, ci vous connaissez Etretat, l'endroit est assez similaire, mais façon marocaines, c'est à dire pas de verdure.

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Nous assistons là bas à l'arrivée du gros swell que tous le monde, sur cet côte Atlantique à pu admiré, des creux de 3 m, 3m50 viennent s'écraser sur les bancs de sable Legziriens. The session pour pierrot et Yassin, une seul, c'est vraiment trop gros. A ce demander comment ont ils faient pour passer la bar (les mousses) 40 minutes quand même pour affronter ces eaux blanches.

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Cette forte houle, nous permettra de réparer quelques pètes et de fabriquer une table avec de la récupe.

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Malgré une tentative de pêche pas de poisson, mais Sam et Yassin ne supporte pas de revenir bredouille, c'est avec des moules qu'ils reviendront.

  Après avoir usé le sol de Legzira. C'est à Sidi Ifni que nous continuons notre safer. Sur la route nous croisons la police qui nous embête un peu avec Yassin, il n'a pas de carte national. Mais bon un peu de tchach, et c'est repartis. A Sidi Ifni, Pierrot à la malheur de demander la route du Hammam à un agent de police. Celui-ci lui tiendra la jambe au moins 15 minutes moteur allumé. Un débit de parole assez impressionnant, il usera de sa salive pour parler du très cher Coran. Ce n'est pas sans désintéresser le pilote mais c'est pas le moment. Ne voulant pas offusquer le gars il écoute sagement le message, le type avait préparé à l'avance tout un tas de paperasse avec traduction. C'est sein et sauf que nous sortons de son monde, Ouf !

Direction le hammam. Nous y serons seul, que du bonheur, et de l'eau bouillante. Ensuite nous irons tâter la toile pour finir en hauteur dans une rue sans issue. Dans ce cas nous offrons notre lit d'ami à Yassin. La nouvelle table faisant connexion avec les deux banquettes. Le lendemain nous cherchons les vagues, et c'est en cherchant que nous trouvons non pas la « Mouga », mais un pote. Un moniteur de surf de l'Ile d'Oléron à st Trojan. Allah Awakbar, le destin ! Il nous donna l'astuce d'aller au « Marsa »(port) pour choper de bonnes vagues.

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Le gros swell pétant encore, il faut donc compter sur les spots de replis. Après la découverte de ce spot, le petit Yassin en notre absence bâti un campement digne de se nom ! (raque à planche, par à vent, et coin vaisselle), parfait le gars ! Mais la police aura le dernier mot et nous décamperons. Soit disant qu'il y a beaucoup de clandestin dans cette zone.

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Je pense qu'il veulent surtout faire marcher le camping. Le hasard emmènera nos trognes en plein milieu d'un champs de figuiers de barbarie. Des petites habitations agrémentent ce lieu, et qui habite ici ? Sliman bien sur !

Sliman, bonhomme née en 1956, qui à un cœur et une joie de vivre infini. Son quotidien, travailler, et profiter du temps qu'il reste pour vivre, avec son pote Kamba ils enchaînent les cônes et parle du temps qui passe.

Son accueil fut chaleureux et son thé bien fort et chaud. Que de plaisir après une session au « Marssa ». Les Karlmousses « figues de barbarie »seront donc au rendez-vous, et notre 10 000 ( jeux de dés ) rebaptisé Koulshi Meshaou. Nous profitons de cet aubaine pour modifier notre galerie ; quelques amélioration qui vont nous changer la vie.

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Les jours se suivent et notre envie de bouger commence à se sentir, les vagues nous bloque au « Marssa », mais let's go, nous décidons d'explorer les alentours à la recherche d'un éventuelle spot de replis, nous irons jeter un œil à Sidi Ouarsik pour finir à Foun Assaka. Aucune trouvaille, la mer sature partout Sacre bleu !

Sliman nous propose d'aller voir sa femme inconnue à nos yeux qui s'occupe d'un membre de la famille malade dans la brouss.

Nous y découvrons Jamila, jeune maman et toutes les autres femmes très accueillantes. Encore quelques moments à partager avec Sliman, Kamba et la clique et nous annonçons notre départ pour « Ashetea la biad » la plage blanche. Samantha durant notre séjour dans les Karmouss aura fait sa place auprès des maîtresses des lieux . Sana se fait offrir, parfums, vêtements, et casse croûte ! Maline, discrète mais efficace. En effet le mari d'une de ces dames travaillera avec pierrot sur un texte à traduire en Arabe, nichen ! Après les dernier préparatifs, direction la plage blanche.

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